Mag N°280 septembre 2014
Une nouvelle jeunesse pour le Caro de Lyon
Après un été de travaux, le Caro de Lyon réouvre ses portes. Nouveaux propriétaires et nouvelle jeunesse pour le restaurant ; on vous fait redécouvrir cette véritable institution lyonnaise.
Pour rencontrer et fidéliser une nouvelle clientèle, un effort a été engagé au niveau des prix qui ont été revus à la baisse, notamment pour le menu du midi à 22 euros et la formule deux plats à 18 euros.
Si il y a un détail appréciable supplémentaire à noter, c'est celui des horaires. Le restaurant continue effectivement de servir jusqu'à minuit, ce qui reste un exploit pour une table lyonnaise de ce standing.
Si Jean Claude Caro n'est plus là , l'âme du lieu perdure et trouve un nouveau souffle avec ses nouveaux propriétaires, bien décidés à séduire une clientèle d'anciens fidèles et de lyonnais appréciant un certain art de vivre.
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Le Caro de Lyon
25 rue Bât d'argent
69001 Lyon
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Article rédigé par Françoise Deydier
Juliette et Baudoin Darras, heureux propriétaires du Gabion à la Part-Dieu, ont repris en juin dernier Le Caro de Lyon. Après un lifting cet été, on redécouvre la brasserie plus lumineuse avec ses peintures rafraîchies, un éclairage réétudié, de nouvelles chaises... ce nouvel écrin ayant été revisité par l'architecte Pierre Chaduc, qui en avait été l'auteur à la création du restaurant.
Aussi, on se réjouit de retrouver la majestueuse bibliothèque et les volumes qui donnent tout le caractère et le chic de cette adresse qui a accueilli le tout Lyon de la politique, des arts et des affaires. Il est vrai que le restaurant laisse place à la convivialité comme aux conversations plus intimes avec des configurations de tables qui savent s'adapter tant au dîner en amoureux, comme aux déjeuners d'affaires ou aux grandes tables de copains, toujours sous les lustres imposants de Murano.
En cuisine , le chef Yannick Decelle, Toque Blanche lyonnaise, a conservé les classiques de la maison comme le fameux pâté en croûte, la salade lyonnaise ou la quenelle maison.
La nouvelle direction, de son côté, marque son arrivée avec la proposition à la carte de six viandes (burger, pluma de para negra, souris d'agneau, picato de veau, filet de boeuf et lapin à l'estragon), cinq poissons (quenelle de brochet, morue, thons, gambas, filet de saint pierre) et une proposition de cuisine du monde. Ainsi, chaque mois, le restaurant mettra à l'honneur un pays avec une formule "saveurs d'ailleurs" ; l'Italie ouvrant ce calendrier des cuisines du monde, la Thaïlande devant lui succéder en octobre.
Aussi, on se réjouit de retrouver la majestueuse bibliothèque et les volumes qui donnent tout le caractère et le chic de cette adresse qui a accueilli le tout Lyon de la politique, des arts et des affaires. Il est vrai que le restaurant laisse place à la convivialité comme aux conversations plus intimes avec des configurations de tables qui savent s'adapter tant au dîner en amoureux, comme aux déjeuners d'affaires ou aux grandes tables de copains, toujours sous les lustres imposants de Murano.
En cuisine , le chef Yannick Decelle, Toque Blanche lyonnaise, a conservé les classiques de la maison comme le fameux pâté en croûte, la salade lyonnaise ou la quenelle maison.
La nouvelle direction, de son côté, marque son arrivée avec la proposition à la carte de six viandes (burger, pluma de para negra, souris d'agneau, picato de veau, filet de boeuf et lapin à l'estragon), cinq poissons (quenelle de brochet, morue, thons, gambas, filet de saint pierre) et une proposition de cuisine du monde. Ainsi, chaque mois, le restaurant mettra à l'honneur un pays avec une formule "saveurs d'ailleurs" ; l'Italie ouvrant ce calendrier des cuisines du monde, la Thaïlande devant lui succéder en octobre.
Crédit photo : Caroline Merklen
Pour rencontrer et fidéliser une nouvelle clientèle, un effort a été engagé au niveau des prix qui ont été revus à la baisse, notamment pour le menu du midi à 22 euros et la formule deux plats à 18 euros.
Si il y a un détail appréciable supplémentaire à noter, c'est celui des horaires. Le restaurant continue effectivement de servir jusqu'à minuit, ce qui reste un exploit pour une table lyonnaise de ce standing.
Si Jean Claude Caro n'est plus là , l'âme du lieu perdure et trouve un nouveau souffle avec ses nouveaux propriétaires, bien décidés à séduire une clientèle d'anciens fidèles et de lyonnais appréciant un certain art de vivre.
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Le Caro de Lyon
25 rue Bât d'argent
69001 Lyon
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Article rédigé par Françoise Deydier
Article publié le - Rédaction Le mag de Lyonresto.com
