Mag N°245 fevrier 2014
Interview de Yves et Jonathan, gérants de Novaway
Jonathan Guillemain et Yves Désigaud sont, ce que l'on appellerait familièrement et dans le bon sens du terme, des geeks. Ils sont passionnés d'informatique et sont très doués dans le domaine : c'est même leur métier. Les geeks ne mangent que des pâtes ? Pas tout à fait... !
Jonathan G. - Novaway, c'est une société que nous avons créée, avec Yves D., en 2010. On est tous les deux co-gérants, et aujourd'hui, nous sommes sept à travailler dans l'entreprise. Concrètement, ce que l'on fait, c'est de la prestation web et mobile sur-mesure. On travaille pour donner une vraie plus-value au produit fini.Â
Yves D. - Tout a commencé avec le blog que nous avons en commun, La Ferme du Web, avec lequel on organisait des apéros web qui nous permettaient de rencontrer des gens du web et d'échanger sur le secteur.Â
On a ensuite fait des évènements un peu plus gros, que l'on a appelé Web Event by La ferme du web, qui ont démarré avec 50 personnes pour grossir jusqu'à 350 participants l'année dernière.
Jonathan G. - Cette année, on a fait la Blend Conférence qui s'est déroulée sur deux jours avec la Cuisine du Web, et là on a comptabilisé 800 personnes par jour.Â
Yves D. - Depuis le début de l'année, on s'est lancé dans la commercialisation de bornes photos interactives, sous le nom de Pixiway.
Jonathan G. - L'idée est venue de la série américaine Chuck. Dans un épisode, il y avait une borne interactive avec laquelle les personnages se prenaient en photo, lors d'une soirée. On a gardé cette idée dans un coin, depuis 2010, et on l'a ressortie cette année suite à la demande d'un client, un peu similaire. Pour l'instant, la borne n'est pas officiellement commercialisée, elle est encore en phase de prototype, bien qu'on l'ai déjà vendue à Weber France et à l'INSA notamment. Et puis on a fait quelques partenariats avec aufeminin.com, marmiton, my photo agencyÂ…Â
Yves D. - Le départ de la commercialisation, ça va être lors du salon Heavent qui est le plus grand salon européen des professionnels de l'évènementiel. Le but de ce salon est double pour nous : vendre la borne et aussi créer une structure dédiée au projet.Â
Jonathan G. - En fait, il y a deux types de bornes. Une pour les professionnels, que ce soit pour des salons ou pour un magasin. Il va y avoir un test dans une boutique de prêt-à -porter Mexx, où l'on pourra prendre en photo ses essayages et les montrer à ses amis pour demander conseil en direct, via facebook par exemple. Aux Etats-Unis et à Londres, ça existe et ça marche déjà bien. Et puis nous sommes en train de concevoir une borne pour les particuliers, beaucoup plus légère pour être plus facile à installer pour un mariage ou un anniversaire.Â
Jonathan G. - Tout d'abord, on choisit sur l'écran tactile le mode souhaité : photo traditionnelle, gif animé, photomaton avec quatre photos différentes ou vidéo courte, avec 30 secondes maximum, qui peut être très sympathique pour réaliser un livre d'or en vidéo pour un mariage par exemple. Ensuite, on récupère les photos par e-mail, on les publie directement sur facebook ou on peut les vidéo-projeter lors d'un évènement.
Jonathan G. - J'ai une sensibilité pour les cuisines du monde et la découverte de nouvelles saveurs. J'ai une attention particulière pour la cuisine méditerranéenne, notamment italienne. L'incontournable étant pour moi la cuisine gastronomique qui est un voyage culinaire. Par contre je ne suis pas un adepte du poisson et des crustacés. Et pour autant, j'aime beaucoup les noix de St Jacques et les huîtres par exemple.Â
Yves D. - Pour ma part, je suis plus cuisine française et bien sûr la cuisine traditionnelle lyonnaise. Je ne suis pas fan de tout ce qui est trop exotique, la cuisine asiatique par exemple. Plus particulièrement, je n'aime pas le foie gras, les terrines, les épinards, la courgeÂ…Â
Jonathan G. - Ma mère est très bonne cuisinière, donc j'ai beaucoup de très bons souvenirs. Si je dois en choisir un, je pense que c'est sa Charlotte aux Fraises avec les boudoirs et la bonne chantilly maison. L'idéal mâconnais aussi, qui est un petit gâteau très compact, plein de beurre. Et puis la gaufrette mâconnaise aussi.Â
Yves D. - Un plat très lyonnais : la quenelle de brochets et le gâteau de foie de ma mère.Â
Jonathan G. - Un succulent tartare de boeuf, c'était à Tournus, au restaurant Aux Terrasses, qui a une étoile au guide Michelin. Un vrai régal, cela demeure mémorable !.Â
Yves D. - Chez Un moment à part, j'ai "dégusté" des nems de canards au miel, et même si je n'aime pas la cuisine asiatique, exceptionnellement, j'ai trouvé cela vraiment très bon.Â
Jonathan G. - Je suis le chef de cuisine à la maison. Ma spécialité, c'est le risotto aux truffes. En semaine, je mange des plats plus diététiques, qui sont assez rapides à préparer. Un steak du boucher de qualité par exemple avec quelques légumes frais. Ou alors des ravioles ou une soupe, si c'est l'hiver. J'essaie de toujours préparer un légume le soir. A l'inverse le midi, au bureau, on mange moins équilibré,  on apprécie se faire livrer des pizzas ou on mange un sandwich. Et le week-end, je me mets aux fourneaux, en prenant le temps de concocter des mets  subtiles.
Yves D. - On peut aller dans le cliché du geek ? (rires) La semaine, on pourrait dire  "plus pâtes et cordons bleus". Et quand j'ai le temps, je retrousse mes manches et je prépare un rôti par exemple.Â
Jonathan G. - Je fais souvent des "Apéritifs dinatoires" entre amis : tapas, fajitasÂ… des recettes conviviales. Et si je reçois mes parents, je vais aux Halles Paul Bocuse pour acheter de produits de qualités : foie gras, coquilles St JacquesÂ… Dans notre culture familiale, nous aimons la gastronomie, et quelque part, on a a une grande considération pour le talent culinaire, presque du respect.Â
Yves D. - Plutôt des plats traditionnels familiaux et conviviaux laissant la place aux discussions comme  la raclette savoyarde ou une crêpe party entre amis.
Jonathan G. On trouvera toujours plein d'épices : j'aime beaucoup la coriandre moulue pour préparer des noix de St Jacques en gratin par exemple.  Au cas où, pour la survie,  j'ai toujours deux - trois conserves, qui sont là depuis je-ne-sais-combien de temps, mais je ne sais même pas si j'ai un ouvre-boite. (rires)Â
Yves D. - Des sauces : ketchup, mayo. Généralement, il y en a toujours dans mon frigo. S'il est vide, il reste au moins des sauces. Et puis des féculents.Â
Jonathan G. - Dernièrement, je suis allé chez Mozzato. Il faut mettre le prix, mais c'est vraiment une bonne adresse. Guy & Sons, pour la livraison des burgers de qualité quand on souhaite ne  rien préparer, c'est parfait. Les burgers arrivent sans trop de dégâts. Et puis à Tournus, il y a de très bons établissements, comme Aux Terrasses dont j'ai parlé tout à l'heure, qui est plus un restaurant pour une occasion particulière.
Yves D. - Casa Flavio, c'est vraiment mon adresse fétiches pour les pizzas. Côté bouchon, Chez Chabert. Pour les amateurs de viande, il y a Carnegie Hall. Et puis le Carmelina quand on souhaite se faire plaisir.
Votre société s'appelle Novaway. Qu'est-ce que c'est ?
Jonathan G. - Novaway, c'est une société que nous avons créée, avec Yves D., en 2010. On est tous les deux co-gérants, et aujourd'hui, nous sommes sept à travailler dans l'entreprise. Concrètement, ce que l'on fait, c'est de la prestation web et mobile sur-mesure. On travaille pour donner une vraie plus-value au produit fini.Â
Yves D. - Tout a commencé avec le blog que nous avons en commun, La Ferme du Web, avec lequel on organisait des apéros web qui nous permettaient de rencontrer des gens du web et d'échanger sur le secteur.Â
Yves Désigaud et JonathanGuillemain
On a ensuite fait des évènements un peu plus gros, que l'on a appelé Web Event by La ferme du web, qui ont démarré avec 50 personnes pour grossir jusqu'à 350 participants l'année dernière.
Jonathan G. - Cette année, on a fait la Blend Conférence qui s'est déroulée sur deux jours avec la Cuisine du Web, et là on a comptabilisé 800 personnes par jour.Â
Avez-vous des projets en cours ?
Yves D. - Depuis le début de l'année, on s'est lancé dans la commercialisation de bornes photos interactives, sous le nom de Pixiway.
Jonathan G. - L'idée est venue de la série américaine Chuck. Dans un épisode, il y avait une borne interactive avec laquelle les personnages se prenaient en photo, lors d'une soirée. On a gardé cette idée dans un coin, depuis 2010, et on l'a ressortie cette année suite à la demande d'un client, un peu similaire. Pour l'instant, la borne n'est pas officiellement commercialisée, elle est encore en phase de prototype, bien qu'on l'ai déjà vendue à Weber France et à l'INSA notamment. Et puis on a fait quelques partenariats avec aufeminin.com, marmiton, my photo agencyÂ…Â
Yves D. - Le départ de la commercialisation, ça va être lors du salon Heavent qui est le plus grand salon européen des professionnels de l'évènementiel. Le but de ce salon est double pour nous : vendre la borne et aussi créer une structure dédiée au projet.Â
À quelle cible s'adresse la borne Pixiway ?
Jonathan G. - En fait, il y a deux types de bornes. Une pour les professionnels, que ce soit pour des salons ou pour un magasin. Il va y avoir un test dans une boutique de prêt-à -porter Mexx, où l'on pourra prendre en photo ses essayages et les montrer à ses amis pour demander conseil en direct, via facebook par exemple. Aux Etats-Unis et à Londres, ça existe et ça marche déjà bien. Et puis nous sommes en train de concevoir une borne pour les particuliers, beaucoup plus légère pour être plus facile à installer pour un mariage ou un anniversaire.Â
Comment fonctionne-t-elle ?
Jonathan G. - Tout d'abord, on choisit sur l'écran tactile le mode souhaité : photo traditionnelle, gif animé, photomaton avec quatre photos différentes ou vidéo courte, avec 30 secondes maximum, qui peut être très sympathique pour réaliser un livre d'or en vidéo pour un mariage par exemple. Ensuite, on récupère les photos par e-mail, on les publie directement sur facebook ou on peut les vidéo-projeter lors d'un évènement.
Parlons gastronomie maintenant. Comment décririez-vous vos goûts culinaires ?
Jonathan G. - J'ai une sensibilité pour les cuisines du monde et la découverte de nouvelles saveurs. J'ai une attention particulière pour la cuisine méditerranéenne, notamment italienne. L'incontournable étant pour moi la cuisine gastronomique qui est un voyage culinaire. Par contre je ne suis pas un adepte du poisson et des crustacés. Et pour autant, j'aime beaucoup les noix de St Jacques et les huîtres par exemple.Â
Yves D. - Pour ma part, je suis plus cuisine française et bien sûr la cuisine traditionnelle lyonnaise. Je ne suis pas fan de tout ce qui est trop exotique, la cuisine asiatique par exemple. Plus particulièrement, je n'aime pas le foie gras, les terrines, les épinards, la courgeÂ…Â
Quel est votre meilleur souvenir gustatif d'enfance ?
Jonathan G. - Ma mère est très bonne cuisinière, donc j'ai beaucoup de très bons souvenirs. Si je dois en choisir un, je pense que c'est sa Charlotte aux Fraises avec les boudoirs et la bonne chantilly maison. L'idéal mâconnais aussi, qui est un petit gâteau très compact, plein de beurre. Et puis la gaufrette mâconnaise aussi.Â
Yves D. - Un plat très lyonnais : la quenelle de brochets et le gâteau de foie de ma mère.Â
Et au restaurant ?
Jonathan G. - Un succulent tartare de boeuf, c'était à Tournus, au restaurant Aux Terrasses, qui a une étoile au guide Michelin. Un vrai régal, cela demeure mémorable !.Â
Yves D. - Chez Un moment à part, j'ai "dégusté" des nems de canards au miel, et même si je n'aime pas la cuisine asiatique, exceptionnellement, j'ai trouvé cela vraiment très bon.Â
Qu'est-ce que vous aimez manger quand vous êtes chez vous ?
Jonathan G. - Je suis le chef de cuisine à la maison. Ma spécialité, c'est le risotto aux truffes. En semaine, je mange des plats plus diététiques, qui sont assez rapides à préparer. Un steak du boucher de qualité par exemple avec quelques légumes frais. Ou alors des ravioles ou une soupe, si c'est l'hiver. J'essaie de toujours préparer un légume le soir. A l'inverse le midi, au bureau, on mange moins équilibré,  on apprécie se faire livrer des pizzas ou on mange un sandwich. Et le week-end, je me mets aux fourneaux, en prenant le temps de concocter des mets  subtiles.
Yves D. - On peut aller dans le cliché du geek ? (rires) La semaine, on pourrait dire  "plus pâtes et cordons bleus". Et quand j'ai le temps, je retrousse mes manches et je prépare un rôti par exemple.Â
Qu'est-ce que vous aimez manger quand vous êtes chez vous ?
Jonathan G. - Je fais souvent des "Apéritifs dinatoires" entre amis : tapas, fajitasÂ… des recettes conviviales. Et si je reçois mes parents, je vais aux Halles Paul Bocuse pour acheter de produits de qualités : foie gras, coquilles St JacquesÂ… Dans notre culture familiale, nous aimons la gastronomie, et quelque part, on a a une grande considération pour le talent culinaire, presque du respect.Â
Yves D. - Plutôt des plats traditionnels familiaux et conviviaux laissant la place aux discussions comme  la raclette savoyarde ou une crêpe party entre amis.
Que trouvera-t-on toujours dans vos placards et votre réfrigérateur ?
Jonathan G. On trouvera toujours plein d'épices : j'aime beaucoup la coriandre moulue pour préparer des noix de St Jacques en gratin par exemple.  Au cas où, pour la survie,  j'ai toujours deux - trois conserves, qui sont là depuis je-ne-sais-combien de temps, mais je ne sais même pas si j'ai un ouvre-boite. (rires)Â
Yves D. - Des sauces : ketchup, mayo. Généralement, il y en a toujours dans mon frigo. S'il est vide, il reste au moins des sauces. Et puis des féculents.Â
Quels sont vos restaurants préférés ?
Jonathan G. - Dernièrement, je suis allé chez Mozzato. Il faut mettre le prix, mais c'est vraiment une bonne adresse. Guy & Sons, pour la livraison des burgers de qualité quand on souhaite ne  rien préparer, c'est parfait. Les burgers arrivent sans trop de dégâts. Et puis à Tournus, il y a de très bons établissements, comme Aux Terrasses dont j'ai parlé tout à l'heure, qui est plus un restaurant pour une occasion particulière.
Yves D. - Casa Flavio, c'est vraiment mon adresse fétiches pour les pizzas. Côté bouchon, Chez Chabert. Pour les amateurs de viande, il y a Carnegie Hall. Et puis le Carmelina quand on souhaite se faire plaisir.
Article publié le - Rédaction Le mag de Lyonresto.com
